J’ai toujours ADORÉ les choux de Bruxelles. Jeune adulte, je me faisais cuire un plat entier comme repas avec du fromage dessus. OK, c’était loin d’être la grande classe puisque c’était des tranches Single que je faisais fondre dessus ! Mais maudit que j’aimais ça ! J’ai évolué et mon choix de fromage et d’ingrédients est plus sophistiqué, MAIS il m’arrive encore de le faire en cachette (moment humiliant hahaha).
Revenons aux choux de Bruxelles
Dernièrement, on dirait que partout dans les restos on voit les choux revenir en force. Quand je suis allée à Chicago, je capotais ! Il y en avait sur tous les menus des restaurants ! Je peux vous dire que j’étais comme contente solide. Petite anectode de voyage, j’ai déchanté un peu quand j’ai croqué dans une boucle d’oreille tombée par accident lors de la préparation en cuisine de ma super salade de choux, mais bon. Si au moins j’avais su à qui elle appartenait ! BEURK ! Heureusement, ça ne m’empêche pas d’adorer les salades de choux ! C’est vraiment un aliment que j’adore et même une mésaventure de resto ne m’empêcherait pas d’en consommer. En plus, merci la vie, mes enfants en raffolent aussi et je ne suis pas obligée de me battre pour en mettre dans les assiettes !
Miammmmm
Bref, quelle mauvaise histoire a racontée pour donner l’eau à la bouche et vendre sa salade (ti jeu de mot poche à la Guy Mongrain) ! Ha ha ha ! Peu importe, les salades de choux de Bruxelles, J’ADORE ! À Noël, ma belle-sœur en a fait une et ce fut un succès sur toute la ligne. Une belle salade gourmande à faire et refaire ! À Noël, elle avait par contre retiré le bacon et les noix de la recette pour des raisons de régimes et d’allergies de nos convives et malgré tout, elle était succulente. Vous avez donc l’option de la faire sans viande et sans noix. Personnellement, j’aime les deux versions ! Alors, tout dépendant des ingrédients qui se trouvent dans mon frigo, je l’adapte !
AOP
** Pourquoi choisir le Pecorino Romano avec la certification AOP (Appellation d’origine protégée) ? Ça certifie (DOH, c’est une certification ha ha ha) que le produit est fabriqué selon les méthodes traditionnelles (quand même 2 millénaires de savoir-faire). Ça veut aussi dire que les méthodes de fabrication sont suivies de façon rigoureuse pour s’assurer de la provenance des ingrédients et le lieu de production des produits de base.
On le sait tous, il n’y a personne de plus qualifiée pour produire THE recette que celui qui l’a fait à l’origine. La preuve ? La poutine (douteux comme comparaison mais bon) ! Combien de fois vous avez chicané sur une poutine mangée dans un autre pays ! Il n’y a que le Québec pour produire LA vraie poutine. S’il y avait une certification pour notre plat national, ça serait tellement cool ! C’est le même concept pour le vin ! C’est ainsi qu’on sait d’où proviennent nos aliments et que la méthode utilisée est la bonne. Assurance qualité, les amis ! Assurance qualité !
Le Pecorino Romano c’est en Italie, plus précisément dans la région de Sardaigne, du Latium et de la province de Grosseto qu’il est produit. À nul autre endroit ! C’est à ça que ça sert une certification ! Alors, prenez le temps de chercher la mention sur l’emballage pour vous assurer que le produit arrive du bon endroit. Même chose pour le fabuleux Asiago, assurez-vous d’y voir la certification AOP ! Bref, amusez-vous à les découvrir. Moi, je les adore ! J’en ferais importer des caisses ! Tsé, des grosses meules de fromage ! MIAM ! En attendant de pouvoir le faire (hihi), ils sont dispos en épicerie, en format plus raisonnable !!!