Il y a des jours où je skipperais cette période merdique qu’est l’adolescence.
Où je me passerais bien des ces foutues sautes d’humeur qui arrivent au moment où on s’ y attend le moins.
Où j’arracherais toutes les portes de la cabane juste pour ne plus entendre claquer.
Où je n’en peux plus d’être cette mère qui ne comprend jamais rien et qui dit tout le temps non.
Mais cet après-midi, quand on m’a apporté ce chocolat chaud, alors que je profitais d’un rare moment relax à lire, me suis dit que ce n’était pas si pire finalement.