Une fois, on m’a mise en charge de faire de la sangria. J’avais jamais fait ça. J’achetais le Pépito àpiceire quand j’avais une rare envie de boire du vin rouge dilué au 7Up avec des oranges.
C’était lors du déménagement de mon amie Sophie. Elle a mis devant moi une bouteille de rosé, un carton de jus d’orange et du Ginger ale. “Tiens! Fais-nous une sangria. Ne cherche pas de recette. Vas-y à l’oeil. Ça va être ben correct”, m’avait-elle dit.
Ça devait être ben correct parce qu’il en n’est pas resté une goutte dans le pichet. Toute bue la sangria. “Tu es vraiment la reine des sangrias!”, m’avait-elle lancé!
Glorifiée de mon nouveau titre, je m’amuse, depuis, à créer des nouvelles sortes de sangria.
Hier, j’ai eu l’idée de mettre du Triple sec dedans. C’était bon. Ben bon même. “Ça se boit tu-seuuul!”, disais-je aux invités en leur servant allègrement ma mixture orangée.
Après mon quatrième verre, j’ai eu comme un coup de fatigue. Me suis écrapoue deux secondes dans le fauteuil où je me suis finalement endormie. À 15 h! Avec plein d’invités dans la maison!
Ouin, c’est pas parce que ça se boit tu-seuuul que ça ne saoule pas. Oups!P.S. Quand je fais des sangrias, je m’assure de toujours nettoyer mes fruits avec le nettoyant pour fruits et légumes Attitude. Pas envie qu’une tonne de pesticides/insecticides se retrouvent dans ma sangria.