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Salade d’orzo aux betteraves du Québec

Nombre de portions:
4

Temps de préparation:

15 min

Temps de cuisson:

50 min

Temps de repos:

Degré de difficulté: Facile
Congélation: Non

Ingrédients

  • 6 à 8 petites betteraves ou 3 moyennes avec les feuilles
  • 2 tasses d’orzo
  • 60 ml d’huile d’olive
  • 2 gousses d’ail, hachées finement
  • 1 échalote française, hachée finement
  • ¼ tasse de basilic frais, haché grossièrement
  • 2 c. table de vinaigre balsamique
  • ¼ à 1/3 tasse de parmesan, la moitié râpée, l’autre en ruban
  • ¼ tasse d’un mélange de noix de Grenoble et graines de citrouille
  • 1/3 tasse de pousses mélangées
  • Sel et poivre

Préparation

  1. Préchauffer le four à 350 F.
  2. Couper les feuilles des betteraves. Réserver.
  3. Nettoyer la peau des betteraves avec une brosse.
  4. Couper les betteraves en tranche d’un demi-pouce d’épaisseur. Les déposer sur une plaque recouverte de papier parchemin.
  5. Arroser d’un filet d’huile et brasser pour bien enrober les betteraves.
  6. Saler et poivrer.
  7. Enfourner au centre du four pendant 50 minutes.
  8. Pendant ce temps, faire cuire l’orzo selon les indications du fabricant.
  9. Égoutter et mettre l’orzo dans un bol.
  10. Arroser de 3 c. soupe d’huile d’olive puis ajouter le vinaigre balsamique. Réserver.
  11. Laver et émincer les feuilles des betteraves.
  12. Faire chauffer 1 c. soupe d’huile d’olive dans un poêlon.
  13. Faire sauter 2 tasses de feuilles de betteraves pendant 2 minutes (conserver le reste pour un autre repas).
  14. Ajouter l’ail et l’échalote.
  15. Faire sauter 2-3 minutes.
  16. Mettre le tout dans le bol d’orzo et bien mélanger.
  17. Ajouter le parmesan râpé, le basilic, les betteraves et les noix.
  18. Saler et poivrer au goût.
  19. Au moment de servir, mettre les pousses et bien mélanger. Ajouter alors les rubans de parmesan sur le dessus.

Avez-vous parfois l’impression de vous répéter ? Des fois, je me dis que ça vient avec la quarantaine. C’est peut-être aussi la passion que j’éprouve pour mon travail qui me fait sans cesse répéter les mêmes affaires. Mais… je vais devoir le dire encore au risque de vous déplaire : J’AIME TROP, mais trop aller visiter des producteurs d’ici. J’aime tellement comprendre les enjeux derrière l’agriculture. Comprendre comment sont produits les aliments que l’on engloutit jour après jour. Apprendre les techniques et les façons de procéder des agriculteurs. J’aime écouter ce qu’ils ont à dire concernant leurs défis au quotidien parce que des défis, il y en a. Y’a rien qui bat l’étincelle qui luit dans leurs yeux quand ils parlent avec passion des produits de leur labeur.

Chaque fois, et pourtant je n’en suis pas à ma première visite, je suis comme une gamine. Je gambade littéralement dans les champs, comme s’il n’y avait pas de lendemain. Je croque à chaque fois dans les produits fraîchement cueillis comme si c’était la première fois que j’y goûtais. Toutes ces visites sont pour moi comme une bouffée de fraîcheur. Ça me stimule, ça m’allume, ça me conscientise. Ça m’amène à réfléchir sur mes choix au quotidien. Je ne vois plus seulement une carotte sur l’étale de l’épicerie. Je vois la carotte de  Marc-André, l’asperge de Laurent, la betterave de Marc-Olivier ou les oignons de Martin. Je savoure maintenant chaque aliment en me disant qu’il y a une petite famille qui trime fort pour faire pousser ces petites merveilles et ce, matin, midi et soir. Pis ça, c’est précieux. Mon assiette a changé depuis quelques années parce que non seulement les producteurs offrent des produits de qualité, mais aussi parce que des entreprises comme Provigo travaillent fort pour nous offrir des produits québécois sur leurs tablettes.

Provigo encourage des familles comme celles derrière la ferme Hotte & Van Winden de Napierville en offrant à ses clients des produits locaux, frais et de grande qualité. C’est une chance pour nous d’avoir des produits aussi fantastiques à notre portée. La ferme Hotte & Van Winden est d’ailleurs l’un des nombreux fournisseurs locaux qui travaillent avec Provigo. À notre plus grand bonheur!

J’ai constaté la qualité de leurs produits lorsque j’ai visité leur ferme, la semaine dernière grâce à mon partenariat avec Provigo. J’étais tellement heureuse. Je vous le dis, demandez à quiconque s’y trouvait. Le sourire ne me lâchait pas la face. Non mais croquer dans une carotte fraîchement cueillie, tsé avec encore un peu de terre dessus, c’est excitant, oui, oui. Prendre un couteau et couper la pomme de salade qui sera servie au repas du soir qui lui sera soigneusement préparé par mon ami le chef Martin Patenaude, c’est unique. Manger une betterave crue qui venait d’être nettoyée par le producteur dans le champ, c’est magique.

Je le sais qu’on n’a pas la chance tous les jours d’aller au champ. Je suis consciente que je fais partie des choyées qui peuvent vivre ça de façon régulière. Je le sais. MAIS je sais aussi que même si on ne peut pas le faire, y’a rien de mieux que de pouvoir choisir des produits de NOS producteurs à l’épicerie parce que le goût est INCOMPARABLE. Ce légume-là, y’a pas fait des milliers de km en voyagement là. Y’a pas été cueilli avant terme pour survivre au voyage. NON, y’a été récolté à maturité par nos producteurs, ici, chez nous. Pis ça, c’est le facteur WOW au niveau des saveurs. Je vous le dis. Ça vaut de l’or !

Bon, je le sais, je m’emporte un peu, mais c’est ce qu’on appelle la passion. Puis quand tu vis des choses comme ça grâce à un partenariat qui te tient à cœur comme celui que j’ai avec Provigo, c’est facile de se laisser aller.

Ceci dit, j’ai aussi eu la chance, après ma visite sur la ferme des Hotte & Van Winden, de repartir avec un panier de légumes frais. Ça n’a pas pris grand temps pour que mon envie de les cuisiner arrive. Les betteraves étaient entre autres si belles et si bonnes, difficile de résister.

Je vous ai donc concocté une belle salade d’orzo et de betteraves. Pleine de fraîcheur et avec du basilic frais qui traine depuis des semaines sur mon comptoir. Un beau plant que j’avais reçu de Provigo en avril dernier les amis. Croyez-le ou non, il est encore tout fringant le p’tit. Faut croire que je l’arrose bien.

J’ai aussi utilisé la betterave dans son entièreté dans cette recette. Les feuilles de betteraves sont si bonnes. Elles remplacent facilement les épinards ou le kale dans certaines recettes. Quelle économie et en plus, aucun gaspillage. On adore ça ! J’espère que vous aimerez et j’espère encore plus que je vous ai donné envie de sortir pour aller visiter les producteurs ou du moins d’acheter leurs produits. Ça vaut la peine fois 1000 ! Croyez-moi !

 Pour conserver la recette sur Pinterest c’est par ici: https://www.pinterest.ca/pin/269793833914818288

Décharge : Je suis ambassadrice pour Provigo. Je reçois une compensation financière pour ce billet. Par contre, les opinions émises sont les miennes et n’impliquent que moi.

Publié le 28 juillet 2019

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