J’aime les dimanches.
Parce que les dimanches, il n’y a jamais de rush. On garde notre pyjama jusqu’au milieu de l’après-midi. On écoute la télé sans se sentir coupable. On ne fait pas la vaisselle du dîner avant celle du souper.
Le dimanche, c’est jour de grasse matinée pour moi. C’est matin de nonchalance extrême sous la couette. C’est le temps de ne rien faire d’important.
J’aime les dimanches parce qu’il n’y a pas de cours de dessin, de pratique de soccer, de scouts. Pas de rendez-vous chez le dentiste. Pas de devoirs. Pas de boulot. Parce que l’agenda est bien souvent vide. Parce que la seule chose que l’on prévoit, c’est de ne rien faire. Rien faire qui urge. Qui ne nous tente pas. Qui soit pénible en tout cas.
J’aime les dimanches pour les rires que j’entends dans mon salon. Pour les jases que j’ai avec l’amoureux. Pis pour les déjeuners spéciaux.
Comme celui de ce matin. Est-ce des beignes? Des pancakes? Un peu des deux en fait. Ce qui est étonnant, c’est que ce n’est pas si sucré. Ni si gras (merci à la compote de pommes). Et pour un matin des plus festifs, on arrose ça de décorettes (achetées au Dollo).
J’ai servi ça en déjeuner, mais on s’entend que ça ferait un formidable dessert aussi. 😉
Une réponse
Mais comment résister ?