Ah je vous jure que si l’argent poussait dans les arbres, les restos de la ville recevraient bien plus souvent notre visite. Non, mais c’est le bonheur pareil pour une mère : pas de stress en cuisine, pas de chicane de « Je ne veux pas manger ça! », pas de vaisselle, pas de ménage. Le bébé échappe son verre de lait sur la table? Pas de trouble, le serveur accourt pour ramasser la gaffe sans que tu n’aies à lever le petit doigt.
La plus grande a envie d’avaler un steak alors que la middle one rêve d’un mac n’ cheese? Pas grave. C’est le problème du cuisinier ça. Tu as envie de lire le journal tranquille? Pas de trouble : envoie tes kids dans la salle de jeux et savoure ce moment béni.
Le bonheur sale
Le seul défaut que je trouve aux restos, c’est la facture. L’idéal, ce serait qu’on saute cette étape. Mais bon, je ne connais pas beaucoup de proprios de restaurants qui soient d’accord avec ma suggestion. Dommage parce que sinon, ce serait vraiment, mais vraiment parfait.
Alors comme ça n’adonne pas que nous soupions tous les soirs au resto, je m’amuse à copier les grands chefs. À tenter de refaire exactement ce qu’ils servent dans leurs assiettes. C’est bien sûr que plus souvent qu’autrement, ils sont vraiment meilleurs que moi, mais mes ouailles n’y voient que du feu!
Cette semaine, je me suis donc prise pour le chef du Bâton rouge et j’ai mis des côtes levées au menu de la smala. J’ai tenté de reproduire leur fameuse recette en glanant des recettes ici et là sur les internet. Je pense que j’ai réussi popire la patente.