Je me rappelle comme si c’était hier la première fois où j’ai mangé un S’more. C.était avec mon amie Jaime du blogue Je suis une maman dans une conférence de blogueuses à San Diego. L’entreprise Hershey avait un immense kiosque où il était possible de griller des guimauves pour se faire des S’mores! Je capotais tellement c’était bon. J’aurais passé ma journée dans le stand à en manger (bonjour la balance qui explose! Hahaha!)
Depuis, on est devenu des spécialistes de la chose. L’été, il n’est pas rare que l’on fasse un feu de camp UNIQUEMENT pour se faire des S’mores! Et pas question d’en manger qu’un seul… Parce que lorsqu’on en avale un, bien c’est sûr qu’un en pousse un deuxième dans le fond du gorgoton… pis un troisième (why not?). D’ailleurs, je n’ai rien inventé là-dans. C’est la définition même du mot : S’more vient de l’anglais “some more”, parce que c’est tout simplement impossible d’en manger un.
Toujours est-il que les filles voulaient manger des S’mores pour dessert hier. Je regardais la cour arrière avec ses six pieds de neige de haut, la corde de bois encore ensevelie de verglas pis le thermomètre qui n’était pas des plus invitants. “Dommage les filles, mais il n’y a plus de guimauves…!”, leur ai-je dit en camouflant le sac de guimauves derrière la farine et le sucre dans le garde-manger.
Filou, perspicace, s’est levé de table pour sortir le pot de guimauve en crème. “On pourrait en faire avec ça!”, a-t-elle hurlé, triomphale.
J’ai abdiqué. Mais c’est pas vrai que j’irai me geler le péteux dehors! Que non! Voilà ce que j’ai popoté à la place : du fudge S’more! Fallait y penser!
Une réponse
Ces fudges donnent vraiment envie !