Je n’ai jamais été fan de côtelettes de porc. Je crois que ça vient d’un petit traumatisme de jeunesse. Je me rappelle de gosser sur le maudit os et de mastiquer éternellement des morceaux de gras. Je détestais pour mourir.
En vieillissant et en apprenant à cuisiner, ce que ma mère ne savait clairement pas faire, j’ai compris que le porc, ça se mange légèrement rosé. J’ai aussi abandonné l’idée des côtelettes avec os. Je préfère de loin celles sans os. Ajoute à ça du fromage et c’est le paradis l’ami !