Voici donc 7 astuces pour vous aider à survivre à la hausse des prix d’épicerie. Pour lire HUIT autres astuces, cliquez ici : 15 astuces pour survivre à la hausse des prix d’épicerie.Et non, ça n’implique pas d’utiliser le couponing!
1. Apprivoiser le vrac
J’adore le vrac pour deux raisons : 1) ça coûte souvent moins cher et 2) ça permet d’éviter les pertes. J’habite seule, et j’adore cuisiner. Je pourrais facilement me retrouver avec des quantités absurdes d’ingrédients que j’ai achetés il y a 2 ans pour une recette précise (à grand prix!) et que je n’ai pas su réutiliser depuis.
Donc, quand je vois un ingrédient que je ne prévois par réutiliser de sitôt, je l’achète en vrac. On y trouve de tout : des noix aux épices aux thés aux huiles… Il y a même des balances pour s’assurer d’avoir exactement la quantité nécessaire! Et il est possible d’apporter ses propres contenants (toujours aviser la caisse avant de commencer à les remplir) question d’être un peu plus écolo.
Pour des produits plus hauts de gamme (surtout pour le chocolat) et parce que c’est l’endroit le plus près de chez moi, je vais souvent au
Vrac en Folie (Marché Jean-Talon). Partout ailleurs au Québec (et au Canada), je recommande le
Bulk Barn.
2. Réduire sa consommation de viande et d’alcool
Mais sérieux, parole d’ex-végétarienne, la solution n’est pas de devenir végétarienne pour devenir végétarienne. Si vous aimez la viande et que vous ne voulez pas être végé, cesser de manger de la viande cold turkey (lol) ça ne fonctionnera pas. Mais oui, même les plus grands carnivores devraient diminuer leur consommation de viande pour diminuer le prix du panier d’épicerie. Notre portion de protéines devrait représenter le quart de notre assiette. Pas plus.
Achetez en gros, achetez déjà surgelé, priorisez les viandes à multiples usages (comme un poulet complet), congelez, répétez.
Si vous avez accès aux producteurs directement, vous pourriez épargner gros. Mais en posant les bonnes questions à votre boucher (même en épicerie!) et en apprenant à apprêter des coupes moins chères (souvent, le truc est simplement de cuire plus longtemps), vous pourrez continuer à manger de la viande sans que votre budget ne souffre trop.
Pis pour l’alcool, bin, ça coûte cher aussi, donc diminuer sa consommation, ça permet d’économiser. Si le verre de vin au souper est sacré, apprenez à découvrir
Vin en Vrac ou la
SAQ Dépôt (ou achetez autant d’alcool que permis par la loi lors de votre prochain voyage aux États-Unis).
3. Devenir BFF avec son congélateur
Même si, comme moi, vous habitez seule, vous devriez (presque) toujours acheter les paquets familiaux lorsqu’ils sont disponibles et en promotion. 90% du temps, ils sont plus économiques. Suffit de lire la petite étiquette expliquant le prix par 100g pour confirmer si c’est bien le cas. Si oui? Achetez et congelez!
Avoir un
congélateur bien rempli est la meilleure et la plus simple façon d’économiser. J’aime toujours garder des légumes (mais, pois, épinards, edamame, courge, poireaux, etc.), de la viande (crue ET cuisinée) et des repas déjà préparés maison (lasagne, pâté chinois, quiche, muffins, etc.) dans mon congélo.
Pour garder le contrôle de votre congélateur, il faut simplement vous assurer de bien noter sur chacun des emballages (1) ce qui s’y trouve (2) combien de portions et (3) quand vous l’avez congelé.
4. Faire son lunch
Eh oui. Impossible de s’en sortir. Sorry. Mais les midi-resto, ça s’accumule vite. Faire son lunch, c’est la meilleure façon d’épargner. Et l’excuse « je n’ai pas le temps le matin » n’est pas valable, sorry encore une fois.
Toujours avoir des repas congelés en portion individuelle au congélo. Pas le temps de faire un lunch?
T’en pitches un dans un sac à lunch, t’ajoutes deux clémentines, et BOUM : repas. 21 secondes, top chrono.
Une sandwich, ça se fait la veille. Des restes de souper, ça fait un excellent lunch aussi. T’aimes pas manger la même chose 2 jours de suite? Bien, saute un jour. Souper le lundi, dîner le mercredi.
De plus en plus de gens sont fans de meal prep, c’est à dire préparer ses cinq lunchs d’avance le dimanche, et les mettre dans un tupperware, comme ça ils sont prêts. Perso, je trouve ça trop intense, mais si ça peut vous aider – go for it!
5. Ne plus acheter des essentiels à plein prix
Cannages, pâtes, riz, farine… Ces aliments reviennent en promotion tous les trois mois. Sans faute.Avec un mini mini mini peu de prévision, il est donc facile de toujours les acheter à petit prix. Cette semaine-là l’épicerie coûtera peut-être un peu plus cher, mais ça va permettre d’épargner gros par la suite.
J’ai même trouvé une fromagerie qui vend de bons fromages québécois à 3 pour 12$ : les mêmes fromages que l’on trouve à 8$ la pièce ailleurs! Il s’agit de la Fromagerie du Paradis au Marché Atwater… à deux pas du bureau de mon chiro, où je vais une fois par mois. 1+1 = devinez où j’achète mon fromage (un essentiel à ma vie!)?
6. Abandonner les restos de fast food
Confession : j’adore le sandwich végé (avec bacon!) et pain fines herbes chez Subway, la soupe won ton du Tiki Ming, le A&W pour son oeuvre en général, et un bon déjeuner McDo après une soirée plutôt arrosée.
Mais ces restos coûtent maintenant une petite fortune! Il est difficile de s’en sortir pour moins de 10$ pour un repas – et ces 10$, 2x par mois, pendant une année, représentent… 240$! C’est le 3/4 de cette hausse du prix du panier d’épicerie.
Ah et SVP au nom de toute, achetez-vous une cafetière et faites vos propres cafés! 5$ par jour pour des cafés x 5 jours semaine x 50 semaines de travail par année = 1250$! MILLE DEUX CENT CINQUANTE DOLLARS! C’est 3,5 fois la hausse du prix d’épicerie! En termes simples, coupez 3 cafés du commerce par semaine, et vous avez épargné les 350$ de hausse du prix de l’épicerie. Aussi simple que ça, dans le fond…
7. Faire de belles assiettes pour manger moins (et mieux)
C’est un fait connu : on mange autant avec nos autres sens qu’avec le goûter. Donc, lorsqu’on fait l’effort de rendre notre assiette jolie, et que l’on se concentre sur l’action de manger (et non écouter la télé), on mangera moins.
Il est également recommandé d’utiliser de plus petites assiettes, et de les remplir : ça nous donne l’impression de manger plus, sans pour autant le faire. La plupart d’entre nous (et je m’inclue totalement là-dedans) mangent trop. Si on réduisait nos portions pour seulement manger ce dont notre corps a besoin (tout en s’accordant quelques petites folies, entendons-nous!), l’épicerie nous coûterait moins cher.
8. Un BONUS : Un livre!
En vous abonnant à l’infolettre, d’Eille la cheap!, on vous envoie le ebook gratuit 10 trucs pour économiser à l’épicerie… sans effort!. Parce que sérieux, le truc pour dépenser moins, ce n’est pas le couponing, la course des épiceries, le 5 cents sauvé par là, les heures de recherche. Sérieux, c’est plate, c’est long, c’est vraiment n’importe quoi.
7 astuces pour survivre à la hausse des prix d’épicerie
Comment économiser
MAIS, Eille la cheap! est toujours là pour veiller sur vous! (LOL)
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1. Apprivoiser le vrac
2. Réduire sa consommation de viande et d’alcool
3. Devenir BFF avec son congélateur
Pour garder le contrôle de votre congélateur, il faut simplement vous assurer de bien noter sur chacun des emballages (1) ce qui s’y trouve (2) combien de portions et (3) quand vous l’avez congelé.
4. Faire son lunch
Toujours avoir des repas congelés en portion individuelle au congélo. Pas le temps de faire un lunch?
T’en pitches un dans un sac à lunch, t’ajoutes deux clémentines, et BOUM : repas. 21 secondes, top chrono.
5. Ne plus acheter des essentiels à plein prix
J’ai même trouvé une fromagerie qui vend de bons fromages québécois à 3 pour 12$ : les mêmes fromages que l’on trouve à 8$ la pièce ailleurs! Il s’agit de la Fromagerie du Paradis au Marché Atwater… à deux pas du bureau de mon chiro, où je vais une fois par mois. 1+1 = devinez où j’achète mon fromage (un essentiel à ma vie!)?
6. Abandonner les restos de fast food
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7. Faire de belles assiettes pour manger moins (et mieux)
Il est également recommandé d’utiliser de plus petites assiettes, et de les remplir : ça nous donne l’impression de manger plus, sans pour autant le faire. La plupart d’entre nous (et je m’inclue totalement là-dedans) mangent trop. Si on réduisait nos portions pour seulement manger ce dont notre corps a besoin (tout en s’accordant quelques petites folies, entendons-nous!), l’épicerie nous coûterait moins cher.
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